Pourquoi M-Gravity ? Mission et valeurs

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« Le sens de la vie est de trouver son don, le but de la vie est de le partager. » Picasso

 

Sortir de votre cocon est un beau processus : je vous accompagne pour vous permettre de déployer vos ailes au service des autres et en lien avec votre écosystème.

Ma passion

c’est de révéler et mettre les gens en route, de vous rendre acteurs pour que vous tissiez des liens durables et féconds. J’ai fondé M-GRAVITY, cabinet de coaching et formation en une lettre et un mot tiroir, pour vous permettre de

  • prendre le temps de GRAVIR les étapes pour apprécier et développer vos talents,
  • trouver votre sens de GRAVITE, les motivations intrinsèques et leviers de décision qui vous animent, ce qui vous rend pleinement vivant, en adéquation avec vous-même et en harmonie avec les autres,
  • accepter une loi de GRAVITATION terrestre, parce que pour être comblé il faut connaître et accepter ses limites afin de ne pas vivre en perpétuel empressement,
  • oser GRAVITER les uns avec les autres pour mieux interagir avec votre environnement et ses histoires de vie,
  • saisir les occasions GRAVES ou moins graves comme signe et opportunité pour de belles transformations,
  • AIMER la vie avec un grand M comme M-Gravity, pour mieux entrer avec joie dans ce chemin et processus d’atterrissage dans votre réel réenchanté.

Finale du film Gravity, ou comment mieux atterrir

Mon objectif : notre qualité de vie globale, pour une « écologie intégrale »

La qualité de vie globale (santé + qualité de vie au travail et hors travail ) nourrit la performance globale (économique et sociale, personnelle et collective).

Nous vivons dans un monde complexe, or la pensée complexe est une pensée qui relie. A l’inverse, une approche mécaniste du monde cherche à le décortiquer et l’expliquer pour toujours plus surexploiter et dépasser nos limites en cloisonnant nos activités. Poussés au bout de cette logique, nous finissons pas vivre hors sol sans tenir compte de notre devenir dans une maison commune à habiter : la terre . C’est ainsi que la grande accélération de nos activités socioéconomiques depuis 1950 nous mène droit dans le mur. Les scientifiques sont de plus en plus nombreux à signer des pétitions pour nous alerter sur les risques induits de famine et malnutrition, phénomènes météorologiques extrêmes, conflits et maladies à transmission vectorielle, 4 risques qui ont déjà commencé à entrer dans notre quotidien.

Face à cette situation, l’écologie intégrale offre une approche multidimensionnelle et transdisciplinaire pour prendre soin de la création dans sa globalité en cessant

  • La surexploitation de nous-mêmes, source de burn out de plus en plus nombreux : professionnel, maternel, familial…
  • La surexploitation des autres, cause de la démission passive de tant de salariés démotivés par leur travail,
  • La surexploitation de la nature, qui nous a fait entrer dans l’ère de l’anthropocène et précipités dans la crise climatique actuelle, avec une éco anxiété grandissante.

La transition écologique nous invite donc à la transformation de nos modes d’organisation, production et consommation, pour entrer dans l’ère du moins c’est plus et mieux. Cela est possible si nous apprenons à mieux gérer notre temps et nos priorités, à ralentir pour ne pas périr ou craquer, à entrer dans le temps long de la fécondité de notre vie et de notre travail. La transition écologique et l’écologie intégrale nous appellent à vivre en harmonie, en interdépendance et relation sereine et apaisée avec nous-mêmes, les autres, la nature et ce qui nous dépasse, ce qui est plutôt une bonne nouvelle enthousiasmante pour toutes les générations présentes et à venir.

Trois constats

  1. Face au RALENTISSEMENT DE LA PRODUCTIVITÉ dans un monde réputé Volatile, Incertain, Complexe et Ambigu, et désormais Battle(fragile, Anxiogène, Non linéaire et Incompréhensible, les entreprises ont besoin de revoir leur mode d’organisation. Cela implique de nouveaux fondamentaux : leadership, coopération, engagement.
  2. Seulement 11% des salariés sont réputés activement engagés (sondage Gallup). La MOTIVATION DES SALARIES  constitue une réserve de productivité de 25 %, selon Francis Mer ancien patron de l’Industrie puis ministre de l’Économie des Finances. Elle se nourrit de bienveillance et exigence, d’inclusion, développement des talents et possibilité de prendre des initiatives. Selon le psychologue du travail Yves Clot, le travail est aujourd’hui lui-même en souffrance : les salariés souffrent du travail qu’ils ne peuvent pas faire, ou du travail ni fait ni à faire.
  3. Les NOUVEAUX MODES DE MANAGEMENT, TRAVAIL COLLABORATIF ET INTELLIGENCE COLLECTIVE s’appuient sur trois types de compétences répertoriés par Cécile Dejoux dans son ouvrage du manager agile  au manager designer
  • compétences numériques (« je désapprends pour réapprendre »).
  • compétences d’agilité (« j’expérimente avec les autres »).
  • compétences de design (« je transforme avec ce que j’ai »).

    Ce principe de design de nos activités est au fondement de la permaculture, qui n’est pas seulement une méthode de jardinage, mais plus largement de réalisation et développement de nouveaux projets qui s’inspire du modèle de la nature pour s’insérer dans un écosystème. Pour poursuivre votre réflexion information sur la permaculture comme modèle de pensée et action, voici quelques notes de lectures de « Guérir la terre nourrir les hommes. »

 

 

 

 

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